Les émissions autour de la cuisine ont ravivé l’attrait naturel des Français pour un secteur toujours en mouvement : la restauration et l’hôtellerie.
Sans forcément vouloir atteindre les sommets de la gastronomie, de plus en plus de salariés et de cadres souhaitent changer de métier et veulent ouvrir leur restaurant ou leur table d’hôtes.
Réussir sa reconversion dans les métiers de la cuisine demande beaucoup de motivation mais surtout deux éléments essentiels : une formation professionnelle solide et une disponibilité totale.
Se former pour devenir restaurateur ou maitre d’hôtel répond à un parcours assez balisé. Le CAP cuisine semble indispensable pour accéder aux métiers de bouche et surtout pouvoir assumer les responsabilités minimales communes à tout le secteur.
Formation aux métiers de la cuisine :
Evidemment, les GRETA (Groupement d’établissements publics d’enseignement) sont un passage obligé pour toute reconversion professionnelle d’un adulte http://www.education.gouv.fr/cid50753/la-formation-continue-des-adultes-a-l-education-nationale.html. Néanmoins, la plupart des spécialistes suggèrent aux personnes en cours de transition professionnelle de consulter un spécialiste du bilan de compétences pour savoir si elles ont les qualités requises pour intégrer le secteur de la restauration (bouton lien interne vers l’annuaire des sociétés de reconversion professionnelle dans le GDR).
Indispensable disponibilité :
Les horaires de travail dans la restauration très particuliers sont connus de tous mais recouvrent une réalité qu’il faut réellement appréhender. Cette très large amplitude horaire se double d’efforts particuliers à fournir lors de l’ouverture d’un restaurant : décoration, marketing/communication, recherche de fournisseurs réactifs et de qualité, autant d’activités très chronophages pour un apprenti chef.